Une Vie ou une mort, un long voyage...

Source : kalarox.centerblog.net sur centerblog.



Je regarde le ciel
Il vire au miel
Une douce goutte
berce mon visage
Je fixe les nuages
Un orage éclate

Ma larme porte la vie
Mon coeur porte mon souffle
Mon bonheur si grand, je m'emmitoufle
Dans l'ouragan qui berce mon amnésie


D'où suis-je venu
Ou faut-il que j'aille
Mon euphorie s'atténue
Je regarde cette  entaille

Le sang coule sur mon bras
Cette plaie faite par moi
Se vide
Que j'ai été cupide...

De croire que ma peine
S'envolerait avec une douleur vilaine




Mon pire poème mais il fallait bien poster quelque chose:
 

C'est un fait:

Ne cherchez pas le sens il n'y en a pas :

Un nez ,
une bouche,
deux oreilles,
manque t il quelque chose
pour définir un homme?

Les yeux,
sont le reflet
de l orgueilleux
Miroirs de l'âme certes
mais garde à celui qui la cherche
Car la seule qui vous soit offerte
Est celle du menteur
Sa langue de vipère
Ses yeux vénéneux
Ne contiennent que du monstrueux
Alors étranger
méfie-toi bien
car il n'y a rien
de plus dangereux
que des yeux séducteurs.

j'adore
même si le poème est surréaliste, on est complètement aspiré dans l'univers de ton poème.
C'est super bien écrit
Bref, bravo

gros frissons ~_~

C'est un peu très terrifiant mais je suis emporté dans ton univers à toi, je veux t'avoir dans mon équipe (non je ne cite pas The Voice) !
Et c'est un pour moi (non je ne cite toujours pas danse avec les stars)!

C'est Legendary (ah zut ma signa) bon je ne peux plus nier l'évidence.

Espoir de Liberté a écrit:

Source : kalarox.centerblog.net sur centerblog.



Je regarde le ciel
Il vire au miel
Une douce goutte
berce mon visage
Je fixe les nuages
Un orage éclate

Ma larme porte la vie
Mon coeur porte mon souffle
Mon bonheur si grand, je m'emmitoufle
Dans l'ouragan qui berce mon amnésie


D'où suis-je venu
Ou faut-il que j'aille
Mon euphorie s'atténue
Je regarde cette  entaille

Le sang coule sur mon bras
Cette plaie faite par moi
Se vide
Que j'ai été cupide...

De croire que ma peine
S'envolerait avec une douleur vilaine

Là haut, j'entends le vent
Ses hurlements me glacent le sang

J'aimerais l'aider,
Voir sa peine allégée.

Mais une force me retient!
Ce n'est que du baratin

Vas-y...monte
Je ne veux plus entendre ce qu'il me conte.

Le voici qui s'acharne,
Ma volonté se désincarne

Un pas, puis un autre,
Comme l'un des douze apôtres

Je monte, je suis
Mon corps s'inonde de pluie

Mon coeur bat
J'ai perdu ce combat

Est-ce le terminus
Ou seulement l'arrêt du bus?

Là haut, j'entends le vent
Ses hurlements me glacent le sang

Je suis ses doux mots
Il me guide or de ce hameau

Au dessus des rameaux
Dans un élan d'espoir, je saute.

Maintenant, je n'ai plus le droit à la faute...

Le cadavre git au sol
il n'a pas eu de bol
haïku pour me moquer MES CONDOLÉANCES

Je me permets de le poster sur ton recueil, vu qu'il t’appartient et je n'aimerais pas qu'il se perde.

Espoir de Liberté a écrit:

Pâle
La brume se lève au dessus des montagnes
Pâle
Cette clarté qui illumine le bagne
Pâle
Une goutte, puis une autre suit la vertèbre de la feuille verte
Pâle
Elle aussi s'éveille sous les premiers rayons
Pâles
Ils moussent, brillent de mille feux au travers des cristaux de la rivière
Pâle
Elle reflète ces nue pourpres
Pâles
Elles bercent le visage de l'enfant
Pâle
Et pur s'émerveillant aux mille rêves qui traversent son front vierge
Pâle
Loin de la misère de la nuit
Pâle
Un nouveau jour se lève
Pâle
Mais brûlant de vigueur
Pâle
Le soleil embrasse la lune
Pâle
Il lui souhaite un bon voyage
Les Adieux sont faits, l’au revoir est lourd, l'aube pèse puis libère
C'est l'heure du renouveau

Merci j'avais complètement oublié !

J'aime bien tes poèmes, mais si je peux me permettre une minime critique, la structure me titille à certains moments